C’est un type comme ça.
Un emmerdement, il est là, un coup dur, il est là, besoin de fête, encore là, aider un ami à boire son chagrin… Toujours là.
Et là, celui qui est toujours là n’est plus.
Être humain à part, si humain et tellement à part dans ce monde devenu égoïste.
A l’heure qu’il est, il doit être en train de préparer un apéro, sortir la plancha, de lancer un feu pour griller un sanglier, ou brasuquer trois brouettes de moules… à moins qu’il ne soit parti chercher de la fougasse pour 90 convives, même si on ne sera que 28 à table…
E.T. est parti, on ne sait à travers quelle galaxie, ni sur quelle planète. Ce qui est sûr, c’est que là où il est, la vie est plus douce pour les autres.
Merci mon ami.
p.
2 Responses
On commence quand la plantation des amygdaliformis ?
Veux des poires sur le causse !!!
😉
J’irai voir s’il y a encore des fruits sur les péras de mon entourage. J’avais un peu abandonné l’idée vu la lenteur de la pousse.
Mais comme nous allons dépasser les 108 ans, c’est jouable !